Des colocataires...

Messages : 58 Date d'inscription : 19/12/2011

Elle alla comme à son habitude dans la salle de test. Elle revenait d'une soirée de fou et elle avait oubliée de camoufler l'alcool. Ne se doutant de rien, elle alla et un surveillant ou un garde plutôt lui prit le bras et lui le tordit. Elle cria de douleur et s’effondra. Elle ne comprit pas tout de suite, pourquoi ils firent ceci. Ils la tortura au point qu'elle en pleurait du sang.

-Alors salope de poisson, qu'a tu fais de l'alcool? Qu'est que tu voulais en faire? Ce serait la dernière fois que tu nous voles quelque chose!

Puis, finalement ils décidèrent de la mettre au cachot. Ils avaient décider de diminuer sa ration d'eau pour environ 2 semaines. Au lieu de recevoir, 2,5 litres par jour comme un humain normale, elle recevait 3 à 3,5 litres d'eau, à cause que ses branchies devaient être souvent "lubrifier". Donc, il la réduire à 2 litres d'eau par jour.

La première journée, elle était tellement en colère qu'elle avait tout détruit le lit, les draps, l'oreiller et ses pichets de nourritures secs (de la bouffe pour astronautes). Elle s'épuisa rapidement à faire cela et se calma. Au point d'aller se terrer dans un coin, se tenir loin des autres punis.

Maintenant, cela faisait seulement une semaine et son état était horrible. Elle était affreuse à voire et si affaiblit. Elle avait de la misère à respirer normalement à cause de ses branchies. Elle soupira et s'assit sur le sol froid et humide. Elle frissonna et se retint de casser tout ou du moins de ce qui restait de non-brisé.

Par contre cette journée-ci, elle fut déranger par un puni qui était assez fatiguant. Il chantait et lui disait des choses choquantes et déplacer. Elle utilisa son peu d'énergie pour lui dire une phrase.

- Ta gueule espèce de vieux fou! Si tu pouvais mourir bientôt tout le monde serait heureux!

L'homme s'offusqua, mais contrairement à ce que Mire s'attendait, il lui sourit.

- Si tu veux... Tu pourrais t'en charger avec tes propres mains ma jolie. Allez une petite nuit avec moi.

Elle s'avança vers ses barreaux et elle lui cracha à la face. Elle voulait mourir, au lieu de coucher avec lui! On devrait la tuer pour qu'elle soit consentante.

- Non je passe gros pervers!

Elle retourna à ses choses et laissa le fou lui crier toute sa colère et ses menaces. Elle les connaissait toute ces menaces-là. Elle l'ignora et s'endormit dans son coin, mais quelque chose dérangea son sommeil. Elle rouvrit les yeux et par malchance, il eut quelqu'un dans sa cellule qui rentra. Il lui apporta de l'eau et du pain sûrement moisi. Elle l'engloutit pareille et avala l'eau d'un seul coup (bon pas tout à fait, car on ne peut pas avaler 2 litres d'eau de même, mais elle en a but beaucoup). Elle se sentit revigorer et prête à bouger.

*silence*

Il n'avait vraiment rien à faire dans ses cellules! Elle voulait de l'action, mais rien alors elle s'assit sur son restant de lit et attendit. Il n'avait rien d'autres à faire qu'attendre la fin de sa peine. Puis, finalement il eut quelqu'un qui rentra dans sa cabine! Elle sourit d'un sourire sadique. Il manquait de place dans les cellules, alors il mixait les prisonniers. Elle sentit que ça allait barder. Qui est mon nouveau ou mes nouveaux colocataires?
" Enfin de l'action!" pensa-t-elle.

Messages : 38 Date d'inscription : 03/01/2012

Wayne entra et observa (façon de parler) sa nouvelle cellule d'un "oeil" (autre façon de parler) distrait. Il marcha tranquillement, puis s'arrêta brusquement en passant sa langue sur ses lèvres déséchées. Il tourna la tête vers Mire.

- Tu vas me fixer comme ça avec tes gros yeux de merlan frit encore longtemps?

Wayne parlait d'une voix grave mais douce, une sorte de raclement fin qui avait quelque chose de désagréable.

- C'est quoi, t'as jamais vu un gars pas de yeux, avec des griffe et des oreilles qui lui donnent un air de gobelin ?

L'étrange créature s'assit pesemment dans son lit qui grinça un bon coup. Il soupira bruyamment, puis se gratta le front de ses longs doigts. Il marmona quelque chose dans une langue inconnue de Mire, puis renifla soudain l'air ambiant. Il ouvrit la bouche, semblant se concentrer.

- Des gardes. 3. Au froissement de la jupe, je dirais qu'un scientifique vient avec. C'est toi qui les as appelé! Tu les as fait venir pour moi! Tu veux me voir mort! JE LE SAIS, NE NIE PAS! PETITE GARCE! Mais tu m'auras pas, oh non! J'suis pas passé par les geôles à Moscou pour mourrir dans ce trou à rat! OH QUE NON!

Wayne sauta d'un bon leste et agile et aggripa Mire à la machoire qu'il sera brutalement. Il rapprocha son visage de selon de la jeune fille et lui huma les cheveux. Puis il lui murmura à l'oreille d'une voix susurrante :

- Si jamais tu fais quoi que ce soit pour me nuire, petite, je vais m'arranger pour que ces gardes viennent et te violes chacuns. L'un après l'autre. Donc on va mettre quelque chose au clair tout de suite, la Truite. Tu te mets pas en travers de ma route. J'étais l'un des premiers, et j'entend être le dernier. C'est compris?

Puis il la relacha.

Messages : 58 Date d'inscription : 19/12/2011

Mire s'était tasser sur le cöté pour voir le prisonnier. Elle n'apperçcu que son dos qui était assez impressionant. Elle en fut bouche bée et le regard avec un dröle d'air lorsqu'il fut face à elle.
-Tu vas me fixer comme ça avec tes gros yeux de merlan frit encore longtemps?C'est quoi, t'as jamais vu un gars pas de yeux, avec des griffe et des oreilles qui lui donnent un air de gobelin ?

Elle se distança de lui et ne dit rien. Elle ne savait que dire que faire. Après tout, il l'engueulait pourquoi lui répondre. Elle pensait qu'il avait arrêter, mais il s'assit sur son lit et huma l'air ambiant.

- Des gardes. 3. Au froissement de la jupe, je dirais qu'un scientifique vient avec. C'est toi qui les as appelé! Tu les as fait venir pour moi! Tu veux me voir mort! JE LE SAIS, NE NIE PAS! PETITE GARCE! Mais tu m'auras pas, oh non! J'suis pas passé par les geôles à Moscou pour mourrir dans ce trou à rat! OH QUE NON!

Il l'a prit par le collet et lui serra fort le cou. Elle essaya de se déprendre et eut le visage bleu. "L'homme" lui huma les cheveux et poussa un petit cri.

- Si jamais tu fais quoi que ce soit pour me nuire, petite, je vais m'arranger pour que ces gardes viennent et te violes chacuns. L'un après l'autre. Donc on va mettre quelque chose au clair tout de suite, la Truite. Tu te mets pas en travers de ma route. J'étais l'un des premiers, et j'entend être le dernier. C'est compris?

Elle ne comprit rien à rien. Elle ne voulait pas être violer, mais encore moins être intimider par un monstre comme lui! Elle s'en foutait carrément d'être violer, elle ne serait pas violer si elle était consentante en? Elle retomba péniblement sur le sol et elle se releva avec difficulté. Elle se distança de l'homme, mais lui dit en un murmure à peine audible.

- Je n'ai appeler personne, même à sa personne ne s'interesserait à toi. Tu es personne.

Elle reprit avec plus de confiance et de force.

-D'ailleurs qui es-tu? Un déchet, un monstre, un pourriture, de la merde. Ouais... de la merde. Bref, lâche moi sinon je les appeles réellement. Pis que tu envoies les gardes, mais je ne peux pas être violer si je suis consentante non?

Elle roula des yeux et ramassa un des débris des pots cassés qu'elle avait fait plutôt. Il était pointu, mais s'assit dans son coin et l'ignora. Elle le camouffla sans qu'il le sache et le laissa dans ses marmornements de vieux fou.

Messages : 38 Date d'inscription : 03/01/2012

Lorsque son interlocutrice lui dit qu'il n'était personne, Wayne ne pu s'empêcher d'éclater d'un rire rauque et cassé, un peu ridicule sur les bords.

- Merci très chère, j'apprécie grandement le compliment! Digne d'une courtisane, que dis-je, d'une virtuose intellectuelle! Le summum de la pertinence en quelques mots! Impressionnant...

Puis Wayne redevint subitement sinistre, et rajouta d'un ton méprisant :

- Ne t'est-il jamais venu à l'esprit, petite sotte, qu'aucun de nous ici n'est réellement "quelqu'un"? N'as tu jamais pensé que nul d'entre nous n'existe vraiment encore? Plus personne ne pense à toi dehors. Personne ne sait que tu existes, sauf quelques personnes pour qui tu es un simple numéro, un visage sur lequel se défouler, un p'tit cul à baiser. Les fleurs devant la maison de ta tante sont surment plus "quelqu'un" que tu ne le seras jamais.

Wayne s'allongea sur son lit grinçant et resta silencieux un moment. Il semblait avoir dit ce qu'il avait à dire. Pourtant...

- Oui, je suis effectivement un monstre. Nous le sommes tous un peu, d'une manière comme d'une autre. La différence entre toi et moi est que moi je suis le loup et toi l'agneau. Je suis le monstre que j'ai décidé de devenir, alors que toi tu es la victime qu'ils veulent bien créer. Je suis un monstre, comme tu dis. Justement. Je suis. Ce que je suis n'est peut-être pas reluisant, mais je continue d'exister, de penser, de vivre. Toi, tu n'est qu'un objet, dénué du coup de toute pensée intellectuelle valable, de toute opinion, de toute raison d'être. Tu survis pour survivre. Moi je vis pour sortir d'ici et buter le mec qui m'as envoyé ici. Je suis emprisonné depuis tellement d'années que j'en ai perdu le compte. Mais j'ai survécut plus longtemps que tous les autres, à Moscou. Toi j'te laisse même pas un an, avant que tu deviennes un automate.

Wayne soupira un long coup puis continua :

- Je suis fatigué, la Truite. N'essaie pas de me tuer cette nuit. Tu n'arriveras pas à me prendre par surprise. Je ne dors que d'un oeil vois-tu... Oh et une dernière chose, petite. On sait tous les deux que tu n'es pas conscentante. Ce n'est pas parce que tu les laisses abuser de toi que tu es conscentante. Tu fais juste faire moins souffrir ton corps. N'oublie jamais ça. Le jour où tu seras conscentante, je serai miséricordieux. Je tuerai ton corps. Car ce jour là, ton esprit sera véritablement mort...

Messages : 58 Date d'inscription : 19/12/2011

Elle l'écoutait d'un oreille à peine intéresser. Puis finalement, elle s'endormit dans son coin et lui continua de parler dans le vide. Tant de mots pour si peu de but... Au moins elle put s'endormir avec sa voix qui vous ferait dormir même durant un feu... Allez bonne nuit!

Messages : 38 Date d'inscription : 03/01/2012

Wayne s'endormit avec le sentiment qu'elle n'avait pas compris, que ses paroles avaient volés très loin de son esprit. Mais peu importais. Le lendemain, Wayne sortait. Il n'était passé aux cachots uniquement parce qu'il avait succombé à la tentation d'utiliser son pouvoir durant son transfert depuis la zone 13. Le lendemain, il retournerait avec les autres et laisserait la Truite seule avec ses illusions et ses mensonges. Wayne sortit alors Brenda, sa seule amie depuis si longtemps. Il s'assit avec les genoux aux menton en oscillant de l'avant à l'arrière pendant une bonne partie de la nuit en s'adressant à son caillou de compagnie. Le lit grincait et ce devait être agacant puisqu'à un moment le pervers voulu intervenir. Puis il vit la créature qui l'observait, sa bouche ouverte avec ses dents acérés, et décida que, pour des raisons de sécurités, il valait mieux se la fermer et dormir.

- ... mais non t'y connais rien Brenda. Les pommes de terres ont besoin de lumières pour pousser, mais de peu d'eau. Et les excréments de chèvre marchent très bien pour faire pousser la betterave. Concernant le rutabaga...

Et cela continua toute la nuit.